« Ça va finir par remplacer les laboratoires » |
|
« Cela va finir par remplacer le syllabus » |
|
« Le prof expliquera moins la matière au cours ». |
|
« J’irai moins souvent au cours » |
|
« Ça me plaît parce que je pourrai probablement enlever mes doutes les plus basiques sans devoir en parler avec le professeur » |
|
Résultats par rapport à la moyenne générale des différents pays
|
UCL |
UCv |
IST |
HEI |
« Ça va finir par remplacer les laboratoires » |
- |
+ |
- |
- |
« Cela va finir par remplacer le syllabus » |
-- |
++ |
- |
= |
« Le prof expliquera moins la matière au cours » |
= |
+ |
- |
++ |
« J’irai moins souvent au cours » |
= |
= |
- |
+ |
« Ça me plaît parce que je pourrai probablement enlever mes doutes les plus basiques sans devoir en parler avec le professeur » |
+ |
= |
= |
+ |
Globalement les étudiants ne croient pas que l’outil multimédia va remplir un rôle de substitution (vis-à-vis du syllabus, des laboratoires, etc.). Par contre ils pensent plus volontiers que cela apportera des réponses aux questions basiques qu’ils ne veulent pas, ou n’osent pas poser à l’enseignant. Les étudiants roumains pensent plus volontiers que cela pourrait remplacer le syllabus et les laboratoires ; les étudiants belges le pensent le moins. Les étudiants français pensent plus volontiers que le module multimédia pourrait avoir une influence sur leur rapport avec le professeur (assister moins souvent au cours, y recevoir moins d’explications…). Cette attitude particulière des étudiants français doit probablement être corrélée avec leur perception particulière de leur enseignant. Les interviews individuelles des étudiants, permettront de percevoir plus précisément lorsqu’ils envisagent la substitution ou la non substitution comme une prévision d’avenir inéluctable ou s’ils formulent un souhait ou s’ils évoquent une crainte. |
