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Mobilité géographique
Actuellement, à l’UCL, un étudiant sur quatre découvre
déjà l’Europe et le monde, grâce à des
programmes d’échanges internationaux. Ces échanges
internationaux sont conçus pour permettre aux étudiants
de parfaire leur connaissance de leurs domaines d'études en même
temps que celles des cultures des autres pays, et d'envisager leurs études
universitaires sous un angle différent de celui de leurs propres
traditions nationales.
L a réforme de Bologne élargit aujourd’hui la notion
d’échange et définit de nouvelles formes de mobilité
étudiante.
Mobilité horizontale (en cours de diplôme)
Une partie du programme de cours pourra être effectuée dans
une autre université, dans le cadre de programme d’échanges.
Les crédits obtenus dans l’institution d’accueil sont
entièrement intégrés dans le programme suivi à
l’UCL.
Ces échanges sont, selon les programmes, soit organisés
au cours de la troisième année du baccalauréat, soit
au cours de la première année du master.
Mobilité verticale
Avec le système de transfert de crédits, l’étudiant
sera de plus en plus encouragé à réaliser des cycles
de formation dans des universités différentes. Après
avoir achevé un cycle, l’étudiant quitte définitivement
son université pour poursuivre ses études dans une autre
institution d'enseignement supérieur, en Belgique ou ailleurs.
Les universités se concertent pour établir des accords de
coopération répondant à cet objectif.
Mobilité « diagonale »
Des programmes, de masters complémentaires par exemple, sont organisés
conjointement par plusieurs universités différentes et incluent
une partie du cursus dans chacune des insititutions.
Actuellement, à l’UCL, plusieurs diplômes sont ainsi
organisés. Par exemple :
- DES en aide humanitaire internationale
- Master européen en sciences du travail,
- Programme TIME avec l'Ecole centrale de Paris et l'Ecole nationale
supérieure de l'aéronautique et de l'espace à Toulouse
- CEMS master in international management
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