Page de présentation des différents domaines illustrés par des textes avec référence aux auteurs dont ils sont tirés.

 

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Il s'agit de présenter ici les différents textes anciens parlant de la louve légendaire, sous forme de récits complets ou de fragments plus ou moins étoffés. Selon les cas, la lupa y prend l'aspect d'un fauve nourricier, de statues (Lupa Capitolina) commémorant son souvenir ou d'une prostituée nommée Acca Larentia. Rappelons que les premières versions suivies disponibles de la légende des origines de Rome, celles de Cicéron, Tite-Live, Denys d'Halicarnasse et Plutarque, datent d'une fourchette chronologique assez basse, comprise entre la fin de la République et le début de l'Empire. Sans oublier les exploitations de ces récits qu'offrent l'inspiration poétique d'un Virgile ou d'un Ovide.  C'est assez dire que toutes ces sources sont très éloignées des faits dont elles prétendent témoigner. Toutes s'inspirent, en brodant librement sur les détails, d'un schéma narratif dont on s'accorde à dire qu'il fut fixé pour la première fois par écrit en 210 avant J.-C. par Fabius Pictor. Avant cette date, et compte tenu de la naissance relativement tardive de la littérature latine, l'information provient essentiellement de fragments grecs [en construction] issus d'oeuvres autrement perdues. On dispose aussi de maigres fragments latins [en construction] antérieurs ou postérieurs à l'apparition du récit traditionnel, sans oublier que longtemps Rome ne se représenta ses origines qu'à travers le prisme, souvent déformant, de la tradition orale.

Pour simplifier les difficultés que présente souvent l'origine de leurs contenus, les extraits ici repris s'aligneront en suivant l'ordre alphabétique de leurs auteurs respectifs. Le sigle louve.gif (7801 octets)   permet, en le sollicitant, d'obtenir la suite d'un texte que son contenu envoie dans une rubrique différente. 

 

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Commentaires éventuels : Alain Meurant (meurant@egla.ucl.ac.be)