[tab: C’est quoi le problème ?]
[tab: De quoi j’ai l’air (enfin… mon texte) ?]
Ce que le prof risque de griffonner dans la marge
Lorsqu’un professeur se penche sur un travail ou une copie d’étudiant, il peut être satisfait de certains éléments tout en trouvant que d’autres ne sont pas suffisamment pertinents, limpides, efficaces, fidèles aux règles…
A priori, tout lecteur (et pas seulement un lecteur qui a pour but de « corriger » le texte ») va considérer qu’un texte est ‘bon’ si ce dernier remplit 4 objectifs :
[table]
1. être correct et pertinent, 2. faire sens clairement
,
[/table]
Lorsque ce n’est pas le cas, le (passage du) texte risque d’être qualifié de :
[table]
,
[/table]
[table]
3. être efficient, 4. respecter les normes en vigueur
,
[/table]
Lorsque ce n’est pas le cas, le (passage du) texte risque d’être qualifié de :
[table]
,
[/table]
[tab: De quoi j’ai l’air (moi) ?]
Ce que le prof risque de conclure à propos de moi
Presque automatiquement, le jugement qu’un lecteur porte sur un écrit se transforme en une représentation de son auteur. Comme si, à l’instar de l’apparence physique, le style vestimentaire ou encore l’accent, les écrits d’une personne étaient les indicateurs de ce que l’auteur est en essence ou « en profondeur ».
Il s’agit d’une appréciation globale sur la personne qui sera parfois pertinente, parfois pas, mais pratiquement inévitable !
[table]
,
,
[/table]
[table]
,
,
[/table]