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 Les programmes de deuxième cycle à partir de 2007
L'information sur les programmes de masters, en cours d'élaboration, sera prochainement disponible.
Les masters
(accessibles aux bacheliers de l'enseignement supérieur universitaire)
Le master est le diplôme de deuxième cycle accessible à l'issue d'une formation initiale d'au moins 180 crédits. Il existera des masters de 120 crédits ainsi que des masters de 60 crédits, organisés parallèlement dans certaines disciplines (dans le cas des anciens programmes d'une durée de quatre ans).
Les masters de 120 crédits
Le master de 120 crédits normalement répartis sur deux années d'études comprend la rédaction d'un mémoire et est le lieu de l'approfondissement et de la spécialisation.
Il se décline selon trois finalités, selon que le futur maître se destine à l'enseignement, à la recherche ou à l'exercice d'une profession: :
- finalité didactique,
- finalité approfondie,
- finalité spécialisée.
Les porteurs d'un grade académique de master 120 peuvent s'inscrire par après dans le même master pour suivre une autre finalité de 30 crédits. Par exemple, un étudiant qui aurait suivi un master en histoire à finalité approfondie peut s'inscrire ensuite à ce même master en optant pour la finalité didactique.
Les masters de 60 crédits
Le master 60 crédits (normalement répartis sur un an) est valorisable sur le marché de l'emploi mais ne donne pas accès au troisième cycle. L'agrégation de l'enseignement secondaire supérieur constitue un programme complémentaire de 30 crédits et doit être obligatoirement suivi après l'obtention du diplôme de master.
Les masters complémentaires
(accessibles aux détenteurs d'un master 120)
Le master complémentaire est un cursus de 60 crédits au moins, auquel ont accès les porteurs du grade de master ayant accompli un cursus de 300 crédits au moins.
Pour avoir accès à ces formations spécialisées, il faudra donc avoir suivi le cursus de master en 120 crédits. Il s'agit d'une qualification professionnelle spécialisée visant soit à autoriser l'exercice de certaines professions (notariat, santé, etc.), soit à répondre aux besoins de formation en coopération, soit encore de donner accès aux compétences reconnues d'équipes de recherche.
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