Objectifs (en terme de compétences)
L'enseignement de l'archéologie romaine repose à l'UCL sur une tradition ancienne, qui a donné lieu à de nombreux doctorats et publications. L'Italie occupe ici la 1ère place et il importe de fournir aux étudiants des connaissance de base en topographie, décor mural et de sol, céramologie, architecture. Ces chantiers italiens comportent tous un volet "républicain" qui suffirait à justifier l'accent mis sur cette période dans l'enseignement depuis les années '70. Pour la période impériale on insistera sur la préparation souhaitable aux chantiers de fouilles belges et français en Syrie, avec ici un intérêt particulier pour la mosaïque et la peinture murale, spécialités dans lesquelles des professeurs du département sont actifs au sein d'associations internationales ayant leur siège en France et qui peuvent proposer des stages.
Objet de l'activité (principaux thèmes à aborder)
Les cours magistraux d'archéologie romaine doivent contribuer à la formation d'étudiants dont on attend notamment qu'ils assurent une relève sur les chantiers de fouilles que des enseignants de l'UCL se sont toujours efforcés d'animer en Italie depuis celui d'Alba Fucens (1949) jusqu'à celui, en cours, de Taurianum (1999), fouilles qui requièrent des collaborateurs, étudiants et chercheurs, pour le dégagement, l'enregistrement puis la publication. D'autres régions (la Gaule) et les chantiers d'autres universités de la Communauté française s'ouvrent également à nos étudiants. En ce qui concerne l'archéologie des provinces impériales, un accent doit être mis sur des techniques décoratives telles la peinture murale et la mosaïque de sol, spécialités dans lesquelles des professeurs du département sont actifs au sein d'associations internationales ayant leur siège en France et qui peuvent proposer des stages, et même des engagements.
Résumé : Contenu et Méthodes
Questions spéciales de l'archéologie et de l'histoire de l'art romains, prenant en compte la ville de Rome, l'Italie et l'ensemble de l'empire à l'exclusion de la Gaule, au centre d'un autre enseignement. Le cours procède par l'exposé de deux sujets annuels. Choisis en fonction de leurs implications historiques et méthodologiques, ou par référence à l'actualité, ils sont le plus souvent centrés sur un site (Rome, Pompéi, Aquilée...) ou sur une catégorie de documents (céramique, peinture, portrait...) ou bâtiments (thermes ou palais impériaux, basiliques...); ils sont associés de manière à aborder chaque année deux domaines géographiques (Italie et provinces) et deux époques différentes (républicaine et impériale). Le cycle complet couvre 4 ou 5 ans.
Autres crédits de l'activité dans les programmes
ARKE21
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Première licence en histoire de l'art et archéologie
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(4 crédits)
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ARKE22
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Deuxième licence en histoire de l'art et archéologie
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(4 crédits)
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ARKE2M1
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Master en histoire de l'art et archéologie, orientation générale
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(6 crédits)
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