Outre 16 crédits d’approches disciplinaires, et 16 crédits d’études des grandes traditions religieuses, le tronc commun met l’accent sur les approches comparatives qui sont au cœur du master, entre religions d’une part (12 crédits) et entre disciplines d’autres part (12 crédits). Dans ces différentes approches, des travaux de séminaires (18 crédits) intègrent collectivement les étudiants autour d’apports personnels et aussi de leur recherche de « mémoire ». Ces séminaires mettent les étudiants en situation de maîtriser les fondements épistémologiques et méthodologiques de la démarche louvaniste de sciences des religions.
Dans la finalité approfondie, outre un libre parcours à constituer individuellement, un séminaire de professionnalisation permet aux étudiants d’interagir avec des acteurs sociaux impliqués dans les questions religieuses et de construire un dispositif mettant en valeur leurs recherches et leurs compétences. Une attention particulière est accordée aux questions religieuses liées à la responsabilité dans la cité (citoyenneté) et dans le monde (transition).
Remarque importante :
La composition du programme de l'étudiant dépend du cursus antérieur qu'il a accompli et des orientations qu'il prendra en matière de religions étudiées et/ou de science de la religion privilégiée ; aussi, l'offre de cours est large et variée d'autant plus qu'elle s'efforce de rencontrer les intérêts de l'étudiant.
Pour accéder à ce master, l'étudiant doit maitriser certaines matières. Si ce n'est pas le cas, il doit ajouter en début de son programme de master des enseignements supplémentaires visant à acquérir les matières prérequises pour les études visées.
Pour un programme-type, ce master totalisera, quels que soient la finalité, les options et/ou les cours au choix sélectionnés un minimum de 120 crédits répartis sur deux blocs annuels correspondant à 60 crédits chacun.