L’étudiant inscrit au programme de master en droit ambitionne de devenir un bon juriste.
« Devenir » On ne naît pas juriste, on le devient. Et quand on croit l’être, on cesse de le devenir. Ainsi, déjà bachelier en droit, l’étudiant inscrit au programme de master entend d’abord poursuivre et compléter sa formation en droit. En accroissant et en approfondissant ses connaissances, il vise à acquérir une maîtrise opérationnelle des règles, principes et concepts gouvernant toutes les disciplines du droit à l’aune de leurs racines et enjeux révélés par les autres sciences humaines. Ayant intégré les prolongements internationaux (spécialement européens), voire étrangers, des différentes matières juridiques, il veille sans cesse à renouveler ses connaissances au prix d’une démarche critique tournée vers l’autre et l’innovation. Sa maîtrise est nourrie et amplifiée par l’expérience de multiples mises en situation, par des méthodes pédagogiques actives, voire par l’expérience d’un séjour d’études à l’étranger ou d’un stage de pratique professionnelle.
« Juriste » Le maître en droit sera capable, de manière autonome et indépendante, de diagnostiquer tous types de problèmes juridiques et d’œuvrer à leur résolution apaisante. Dans les matières relevant de ses finalité et options, cette compétence tend à l’excellence. S’appuyant sur des recherches approfondies, l’exercice de cette mission fondamentale de l’articulation du droit au fait revêtira, en outre, les formes stylistiques (écrites et orales) les plus rigoureuses de la langue française. Le diplômé sera aussi à même d’entretenir une conversation professionnelle courante dans une autre langue (spécialement le néerlandais et/ou l’anglais).
« Bon » Le maître en droit sait que le droit, s’il est une valeur en soi, n’existe pas de manière isolée et désincarnée par rapport à la réalité économique, sociale et politique. Il comprend et assume les dimensions non juridiques qui sous-tendent tout choix juridique. C’est pourquoi, animé d’un esprit critique et ouvert, il a à cœur de ne jamais se départir d’une vision éthique et morale du droit et de la justice, l’amenant à s’interroger sans relâche sur le sens et la pertinence des règles qu’il créera, appliquera ou combattra au regard et au nom du bien commun.
Au terme de ce programme, le diplômé est capable de :
1. APPROFONDIR
Mobiliser et enrichir avec esprit critique les savoirs et compétences acquis au terme du programme de bachelier en droit.
« Devenir » On ne naît pas juriste, on le devient. Et quand on croit l’être, on cesse de le devenir. Ainsi, déjà bachelier en droit, l’étudiant inscrit au programme de master entend d’abord poursuivre et compléter sa formation en droit. En accroissant et en approfondissant ses connaissances, il vise à acquérir une maîtrise opérationnelle des règles, principes et concepts gouvernant toutes les disciplines du droit à l’aune de leurs racines et enjeux révélés par les autres sciences humaines. Ayant intégré les prolongements internationaux (spécialement européens), voire étrangers, des différentes matières juridiques, il veille sans cesse à renouveler ses connaissances au prix d’une démarche critique tournée vers l’autre et l’innovation. Sa maîtrise est nourrie et amplifiée par l’expérience de multiples mises en situation, par des méthodes pédagogiques actives, voire par l’expérience d’un séjour d’études à l’étranger ou d’un stage de pratique professionnelle.
« Juriste » Le maître en droit sera capable, de manière autonome et indépendante, de diagnostiquer tous types de problèmes juridiques et d’œuvrer à leur résolution apaisante. Dans les matières relevant de ses finalité et options, cette compétence tend à l’excellence. S’appuyant sur des recherches approfondies, l’exercice de cette mission fondamentale de l’articulation du droit au fait revêtira, en outre, les formes stylistiques (écrites et orales) les plus rigoureuses de la langue française. Le diplômé sera aussi à même d’entretenir une conversation professionnelle courante dans une autre langue (spécialement le néerlandais et/ou l’anglais).
« Bon » Le maître en droit sait que le droit, s’il est une valeur en soi, n’existe pas de manière isolée et désincarnée par rapport à la réalité économique, sociale et politique. Il comprend et assume les dimensions non juridiques qui sous-tendent tout choix juridique. C’est pourquoi, animé d’un esprit critique et ouvert, il a à cœur de ne jamais se départir d’une vision éthique et morale du droit et de la justice, l’amenant à s’interroger sans relâche sur le sens et la pertinence des règles qu’il créera, appliquera ou combattra au regard et au nom du bien commun.
Au terme de ce programme, le diplômé est capable de :
1. APPROFONDIR
Mobiliser et enrichir avec esprit critique les savoirs et compétences acquis au terme du programme de bachelier en droit.
2. MAÎTRISER ET APPLIQUER
Maîtriser le contenu des principales règles du droit positif belge dans toutes ses branches, ainsi que celles du droit européen et du droit international, pouvoir en comparer les traits essentiels à quelques systèmes étrangers et être capable de passer de l’abstraction de la règle de droit aux faits, fussent-ils présentés de façon complexe, et inversement.
Maîtriser le contenu des principales règles du droit positif belge dans toutes ses branches, ainsi que celles du droit européen et du droit international, pouvoir en comparer les traits essentiels à quelques systèmes étrangers et être capable de passer de l’abstraction de la règle de droit aux faits, fussent-ils présentés de façon complexe, et inversement.
3. EXPLIQUER ET CONVAINCRE
Passer aisément de la règle aux faits et inversement lors d’une discussion, communiquer de manière claire, précise, structurée et argumentée le fruit d’une recherche et le résultat d’une analyse juridiques et produire une étude juridique, dans le respect le plus absolu des règles gouvernant la production scientifique.
Passer aisément de la règle aux faits et inversement lors d’une discussion, communiquer de manière claire, précise, structurée et argumentée le fruit d’une recherche et le résultat d’une analyse juridiques et produire une étude juridique, dans le respect le plus absolu des règles gouvernant la production scientifique.
4. RÉFLÉCHIR ET PARTICIPER
Actualiser ses connaissances, percevoir les passerelles entre les différentes branches du droit, se forger des opinions personnelles et, le cas échéant, faire fructifier l’ouverture résultant d’un stage ou d’un séjour d’échange.
Actualiser ses connaissances, percevoir les passerelles entre les différentes branches du droit, se forger des opinions personnelles et, le cas échéant, faire fructifier l’ouverture résultant d’un stage ou d’un séjour d’échange.
5. S’INTERROGER ET S’IMPLIQUER
S’interroger sur les choix que véhiculent les normes, se forger des opinions personnelles et s’impliquer dans la promotion des valeurs fondatrices du droit.
S’interroger sur les choix que véhiculent les normes, se forger des opinions personnelles et s’impliquer dans la promotion des valeurs fondatrices du droit.
6. S’ORGANISER ET S’ADAPTER
S’organiser dans son travail, pouvoir s’adapter à de nouveaux contextes et y évoluer positivement, en ayant intégré une logique de développement continu.
S’organiser dans son travail, pouvoir s’adapter à de nouveaux contextes et y évoluer positivement, en ayant intégré une logique de développement continu.