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programme d'études 2014-2015

Enseignement et formation



 Se préparer au mieux pour aborder la formation de Master en histoire pour, au terme du master, être capable d’« éclairer, dans sa complexité, le passé des hommes et des sociétés qui nous ont précédés et les liens qui l’unissent à notre présent », tel est le défi que l’étudiant Bachelier en histoire se prépare à relever.
Le diplômé bachelier en histoire aura acquis :
- une connaissance générale des grands cadres de l’histoire occidentale, située dans l’histoire mondiale, de l’Antiquité jusqu’à nos jours,
- une ouverture à d’autres disciplines fondamentales pour une meilleure compréhension de l’homme et des sociétés,
- une maîtrise de base, théorique et pratique, des méthodes de recherche propres aux études historiques (collecte de l’information ; analyse critique et organisation des données recueillies ; élaboration d’une synthèse personnelle).
Durant les trois années de bachelier, le diplômé aura fait preuve d’une autonomie croissante. L’étudiant aura développé son projet de formation qu’il poursuivra durant le programme de master en s’orientant vers des domaines spécifiques par son choix de finalité, en ayant en perspective la construction de son projet personnel et professionnel.

Au terme de ce programme, le diplômé est capable de :
1. Démontrer une connaissance et une compréhension critique et transversale des grands cadres de l’histoire occidentale, dans ses relations avec l’histoire mondiale, de l’Antiquité jusqu’à nos jours.

2. Maîtriser des connaissances et concepts de base d’autres disciplines, l’ouvrant à de grands courants de la pensée et de la culture occidentales ainsi qu’à d’autres sciences humaines et sociales (philosophie, histoire de l’art et archéologie, littératures, économie, anthropologie, …).

3. Maîtriser les fondements théoriques des méthodes propres aux études historiques et les appliquer, à des thématiques précises, prédéfinies et encadrées par les enseignants (collecte de l’information ; critique des sources ; analyse critique et organisation des données recueillies ; élaboration d’une synthèse personnelle).

4. Poser un regard réflexif, en mobilisant une approche scientifique, sur l’histoire de sa discipline (historiographie) et sur sa propre pratique d’historien en construction.

5. Communiquer, à l’oral et à l’écrit, sur des sujets relatifs à l’histoire (des informations, des réflexions, des conclusions ainsi que les connaissances) de façon claire, structurée, argumentée.

6. Maîtriser les connaissances de base (lexique, morphologie et syntaxe) ou plus approfondies d’une langue ancienne ou médiévale (Latin ou Grec) et les mobiliser pour comprendre, traduire et analyser grammaticalement des phrases et textes simples rédigées dans cette langue.

7. Maîtriser un socle de connaissances fondamentales dans les domaines de la philosophie, de l’histoire, de l’histoire de l’art, de l’archéologie et des littératures.

8. Maîtriser avec rigueur et efficacité les discours universitaires, tant sur le plan de la compréhension que sur celui de la rédaction.

9. Devenir acteur de sa formation : gérer de manière autonome son travail (définir les priorités, anticiper et planifier l’ensemble de ses activités dans le temps), faire preuve de recul critique sur ses propres acquis, ses méthodes d’apprentissage et ses productions et intégrer par soi-même de nouvelles connaissances, méthodologies et compétences.

10. Mobiliser les compétences et savoirs disciplinaires acquis pour développer des attitudes d’ouverture à l’interculturalité, d’engagement citoyen et de positionnement critique vis-à-vis de soi-même, de la société, et des savoirs.

11. Communiquer à l’oral et à l’écrit de façon claire, cohérente, argumentée et avec aisance sur des sujets d’ordre général ou relatifs au domaine d’études dans au moins une langue moderne (anglais, néerlandais ou allemand).

12. Démontrer une connaissance et une compréhension critique de savoirs approfondis dans la (les) discipline(s) relative(s) à son choix de mineure.