L'organisation de l'espace dans lequel nous vivons résulte de l'action de l'homme sur son milieu naturel. Elle est le fruit d'une multitude de décisions, prises dans un passé lointain ou proche, qui ont façonné notre environnement en l'adaptant à nos besoins pour le meilleur et pour le pire. Ces décisions ont stimulé le développement comme elles ont créé des déséquilibres : agriculture mondiale plus productive, échanges à toutes les échelles, accroissement du bien-être moyen, mais aussi pollution, déforestation, effet de serre ou surpopulation. La géographie étudie les mécanismes qui ont conduit à ces effets, pour mieux les maîtriser.
L'objectif de la formation est une initiation aux trois aspects fondamentaux de la démarche du géographe :
- observer et décrire le milieu, notamment grâce aux bases de données géographiques informatisées et aux techniques de pointe des satellites d'observation de la terre ;
- comprendre et expliquer les processus observés, notamment en appliquant des modèles qui permettent de les simuler ;
- apprentissage de certains concepts de la gestion des ressources par l'aménagement du territoire.
L'étudiant développera des compétences dans le domaine de la géographie et en particulier dans l'étude des interactions entre les activités humaines, l'espace géographique et l'environnement naturel. Cette étude est abordée tant des points de vue de la géographie humaine que de la géographie physique avec un effort important d'intégration de ces deux perspectives. La formation vise également l'introduction aux techniques géographiques nécessaires à l'étude de cette problématique.
Le master en sciences géographiques (60 crédits) se distingue du master en sciences géographiques (120 crédits); ne comportant qu'une année d'études, il s'inspire de ses objectifs mais vise plus modestement à compléter et spécialiser la formation en géographie acquise au terme du programme de bachelier.
L'organisation de l'espace dans lequel nous vivons résulte de l'action de l'homme sur son milieu naturel. Elle est le fruit d'une multitude de décisions, prises dans un passé lointain ou proche, qui ont façonné notre environnement en l'adaptant à nos besoins pour le meilleur et pour le pire. Ces décisions ont stimulé le développement comme elles ont créé des déséquilibres : agriculture mondiale plus productive, échanges à toutes les échelles, accroissement du bien-être moyen, mais aussi pollution, déforestation, effet de serre ou surpopulation. La géographie étudie les mécanismes qui ont conduit à ces effets, pour mieux les maîtriser.
L'objectif de la formation est une initiation aux trois aspects fondamentaux de la démarche du géographe :
- observer et décrire le milieu, notamment grâce aux bases de données géographiques informatisées et aux techniques de pointe des satellites d'observation de la terre ;
- comprendre et expliquer les processus observés, notamment en appliquant des modèles qui permettent de les simuler ;
- apprentissage de certains concepts de la gestion des ressources par l'aménagement du territoire.
L'étudiant développera des compétences dans le domaine de la géographie et en particulier dans l'étude des interactions entre les activités humaines, l'espace géographique et l'environnement naturel. Cette étude est abordée tant des points de vue de la géographie humaine que de la géographie physique avec un effort important d'intégration de ces deux perspectives. La formation vise également l'introduction aux techniques géographiques nécessaires à l'étude de cette problématique.
Le master en sciences géographiques (60 crédits) se distingue du master en sciences géographiques (120 crédits); ne comportant qu'une année d'études, il s'inspire de ses objectifs mais vise plus modestement à compléter et spécialiser la formation en géographie acquise au terme du programme de bachelier.