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Mineure en activité physique, santé et culture du mouvement [30.0] - MINIEPRA partir de 2008/2009, cette mineure n'est plus accessible à tout nouvel étudiant.
La mineure en "activité physique, santé et culture du mouvement"(APSC).permet une ouverture de l'étudiant à l'activité physique et sportive en complément de sa formation majeure.
L'étudiant peut ainsi acquérir des compétences dans le domaine de la gestion de la santé par l'activité physique et sportive, compétences qui lui sont utiles dans l'immédiat pour sa vie d'étudiant et également dans sa vie d'adulte. Quels sont les grands principes de l'adaptation physiologique du corps à l'effort et à l'entraînement ? Quels sont les déterminants psycho-sociaux qui font que certains s'engagent et restent engagés dans une activité physique régulière ? Quels est le coût psycho-socio-économique de la sédentarité ? Quelles conditions pour une pratique en sécurité ? Les éléments de réponses à ces questions offrent à l'étudiant des clés d'analyse qui lui permettent de juger de l'intérêt d'actions proposées en matière d'activité physique et sportive pour la santé. Il s'agit d'envisager un(e) universitaire qui pratique lui-même une activité physique de qualité et qui, comme acteur socio-économique, est sensibilisé à la lutte contre la sédentarité en tant qu'élément de développement de l'homme, de facteur de santé publique et d'efficacité socio-économique. Il ne s'agit nullement de former des professionnels du mouvement (enseignants, entraîneurs, sportifs de haut niveau ou autres intervenants dans les domaines du sport et de l'activité physique). La mineure introduit ainsi l'universitaire à la culture du mouvement. Compétences à acquérir 1. Il dispose d'une conceptualisation riche du rôle que peut jouer l'activité physique et sportive (APS) sur la santé (déf. OMS) d'une personne dans l'interaction des composantes physiques, psychologiques et socio - environnementales. 2. Il dispose de clés d'analyse critique en matière de lien entre l'activité physique ou sportive et la santé qui leur permettent de juger de l'intérêt d'actions proposées (cfr compétence 6). Plus particulièrement
3. Il expérimente des techniques représentatives dans le domaine de la motricité de conditionnement physique, de protection du corps (sécuritaire), de bien-être (santé). 4. Il peut évaluer ses propres besoins au départ de l'analyse d'indicateurs simples. 5. Il analyse sa propre prise en compte de son corps dans sa vie à travers ses pratiques d'APS en développant la dimension réflexive. 6. Il devient apte à évaluer la valeur de ce qui lui proposé. Il analyse des propositions d'interventions; sur la base de critères physiologiques, sociologiques, etc, propres à une APS liée à la santé.
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5/03/2009
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