Résumé :
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Les pays développés connaissent une montée préoccupante des déséquilibres alimentaires. Les jardins collectifs, s’ils sont bien utilisés, favorisent une amélioration des pratiques alimentaires. Depuis une quinzaine d’années, on assiste à une multiplication des jardins partagés. Mais on constate aussi une inégalité d’accès à ces jardins au détriment des ménages les plus modestes. De plus, les modes d’animation de ces jardins limitent leur efficacité alimentaire et nutritionnelle. Un renouvellement des méthodes est indispensable.
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