Résumé :
|
"Depuis une quinzaine d'années, Bruxelles est devenue familière de l'image de femmes roms qui mendient, parfois aussi d'hommes et, dans certains cas des enfants. Au sein de la communauté rom, des opinions différentes circulent sur l'activité de mendicité. Un grand nombre ne se voit pas aller mendier pour gagner sa vie. Beaucoup ne l'approuvent pas, encore moins quand des enfants sont ""mis au travail"". Ils se rendent compte que cela nuit à leur image en tant que Roms. Les églises roms pentecôtistes à Bruxelles déconseillent fortement la mendicité à leurs fidèles. L'activité des mendicités se pratique momentanément dans la majorité des cas dans des familles issues de régions spécifiques et avec un contexte particulier. Cependant, dans le passé pour de nombreuses familles plus stabilisées aujourd'hui, elle a souvent représenté une étape inéluctable.[introduction]"
|