Résumé :
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Le fil rouge de ce BIS devait être la créativité, celle que l’humanité déploie depuis la nuit des temps pour avancer, pas celle qui sert de cache-misère aux manques budgétaires. Et pourtant tous ceux que nous avons rencontré et qui déploient des trésors d’imagination pour atteindre leurs buts, tous ceux-là préféreraient sans doute mettre leur créativité au service d’autre chose que ce pour quoi nous les avons interviewés.|Ils préféreraient sans doute écrire, dessiner, composer de la musique, faire des photos, des films d’art, cultiver leur potager, explorer de nouvelles voies, imaginer d’autres paradigmes, rêver.|En rédigeant ces articles, compte-rendus de ces rencontres, me revenaient en boucle les mots de Christine Mahy (directrice du Réseau Wallon de Lutte contre la Pauvreté) : « Toute cette créativité que les pauvres mettent au service de la survie, et elle est immense…, c’est une énergie qui est perdue pour la société »
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