Résumé :
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Nous avons tendance à concevoir que ce qui est virtuel est moins important que ce qui est réel. Pourtant les émotions, positives comme négatives, y sont ressenties de manière identique. Cet article montre que nous utilisons à tort le terme de «virtuel» pour parler des interactions via des outils numériques. Cette distinction permet de mieux comprendre l’importance de ces relations et de constater que la dichotomie entre réel et numérique n’a plus lieu d’être. En revanche, ce contexte doit pouvoir être cadré et bénéficier de limites, comme n’importe quel autre contexte. Il reste encore à savoir de quels genres de limite nous parlons dans un couple, en famille, entre parents et enfant ou encore entre thérapeute et patient.
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