Résumé :
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Pour élaborer un propos sur le travail du négatif, l'auteur commencera pas [i.e. par] témoigner d’un embarras, – qui ferait sourire Adam Phillips (2009) – à l’égard de la qualification de «négatives» des capacités qu’il analyse ou de la «négativité» au centre de cette publication. Il essaiera ensuite de dire quelles sont pour moi les conditions de la pensée qui fondent son enseignement et sa recherche. Il terminera par la critique du crime et de la rationalité pénale moderne (concept emprunté à Alvaro Pires, 1998) qui découle de ces «conditions de la pensée». Si l’art doit encore figurer dans sa proposition, il interviendra par association dite libre.
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