Titre :
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Un traumatisme majeur : le mal absolu que l'être humain fait à l'être humain (2012)
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Auteurs :
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CHILAND C.
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Type de document :
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Article : texte imprimé
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Dans :
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Neuropsychiatrie de l'enfance et de l'adolescence (Vol. 60 n° 5, juillet)
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Article en page(s) :
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pp. 394-398
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Note générale :
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biblio.
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Langues:
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Français
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Catégories :
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VIOLENCE
TRAUMATISME PSYCHOLOGIQUE
ASPECT ANTHROPOLOGIQUE
ASPECT SOCIOLOGIQUE
ANALYSE CRITIQUE
HUMANISME
CRIMINOLOGIE
PSYCHOPATHOLOGIE
EMPATHIE
AUTISME
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Mots-clés:
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ENFANT EN DIFFICULTE
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PREADOLESCENT
;
ADOLESCENT EN DIFFICULTE
;
ANOREXIE
;
IMPACT SUR LA SANTE
;
DEVELOPPEMENT DE L'ENFANT
;
SYSTEME OSSEUX
;
PUBERTE
;
THERAPEUTIQUE
;
ALIMENTATION
;
PSYCHOTHERAPIE
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Résumé :
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But de l’étude : Il ne s’agit pas de données expérimentales, mais d’une réflexion sur la destructivité des êtres humains à l’égard de leurs semblables qu’ils ne reconnaissent pas comme tels et le lien possible avec la disparition pathologique de l’empathie. […]|La perte d’empathie chez les bourreaux et les criminels : Aussi bien dans les meurtres collectifs que dans les crimes individuels, on assiste à une perte d’empathie. S’agit-il d’une forme de pathologie non reconnue par la psychiatrie parce qu’on ne peut pas la traiter par les ressources thérapeutiques de la psychiatrie et qu’elle laisse entière la responsabilité des actes ?|La perte d’empathie dans l’autisme : Dans l’autisme, la perte d’empathie est peut-être liée à une atteinte des circuits neuronaux qui la rendent possible et ne conduit pas à la criminalité. Une vignette clinique éclaire les dimensions multiples du problème.
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Note de contenu :
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SCIENTIFIQUE
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