Résumé :
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Notre sexualité est complexe, oscillant entre les influences de notre passé et celles des représentations sociales. Elle l'est d'autant plus encore pour les personnes handicapées mentales pour lesquelles l'interdit social de procréation pèse lourdement. Parler de sexualité voire de possible enfant pourrait nous permettre de revisiter notre fonctionnement/dysfonctionnement social par rapport aux personnes handicapées mentales afin d'améliorer nos pratiques d'accompagnement, et ce, dans une dynamique beaucoup plus globale. Ce sont, en effet, les propos des personnes handicapées dans cette expérience singulière de parentalité qui viennent nous interroger.
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