Résumé :
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Le droit de l'usager tel qu'il fut reconnu par la jurisprudence administrative ne se réduit pas au droit du client qui, quoiqu'il soit roi, comme le prétend le diction commercial, ne conteste les décisions du commerçant, fournisseur ou prestataire autrement qu'en votant avec son porte-monnaie, par le libre jeu de la loi de l'offre et de la demande.Le droit de l'usager n'a de sens que s'il n'est pas un diminutif du droit commun contractuel, ni du droit protecteur de la consommation.Il devait, il est, il devrait être le droit du citoyen face à un service assuré ou régulé par l'État ou les collectivités territoriales, le droit de participer à la gestion des services publics, le droit d'évaluer et de contrôler ceux-ci.
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