Résumé :
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Chaque année, environ 65.000 femmes ont le cancer du col et 30.000 femmes en meurent en Europe. Pourtant, il est un des seuls cancers qu'il soit possible de prévenir. Les adolescentes sont plus susceptibles que n'importe quel autre public d'être infectées par le papillomavirus, de par leur comportement sexuel, elles représentent un risque élevé de contamination. Au-delà d'une simple information, une éducaiton pour la santé viserait à rendre les jeunes filles actrices et décideuses de leur santé actuelle et future. Dans cette optique, et en vue de rendre les adolescentes autonomes et capables de prendre des décisions éclairées sur leur santé, on étudie leurs représentations sociales en matière de cancer du col de l'utérus, en vue de comprendre leur influence sur les comportements de santé adoptés. Cette recherche, visant à faire émerger les représentaitons sociales en matière de cancer du col, se veut exploratoire et utilise une méthode qualitative descriptive selon la méthode de l'entretien semi-directif.
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