Résumé :
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Les auteurs n'ont pas la prétention de pouvoir remplacer ou améliorer la psychiatrie mais disent simplement que lorsqu' on ajoute à cette dimension celle de l'entourage, du voisinage et de la ville, on aboutit à un résultat qui est meilleur et plus durable par nature, ce qui peut se révéler très bénéfique. La question se pose plutôt en ces termes : le système de santé burxellois s'est-il déjà adapté à ce modèle interactif ou doit-on modifier la structure de ce système ainsi que les rapports de collaboration?
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