Résumé :
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Parce qu'en France on considère que l'alcoolisme ne représente pas un risque pour l'adolescent, la prévention n'existe pas, si l'on s'en tient au sens littéral du mot : pour prévenir, il faut anticiper. La prévention de l'alcoolisme ne s'exprime qu'en termes de soins (pour les personnes alcooliques, prévention tertiaire) ou de stricte information (pour les ados, réduction des risques). Or, la prévention retenue par l'OMS s'articule autour de trois axes : primaire, secondaire et tertiaire et chacune doit s'organiser autour de trois modes d'action : l'éducation pour la santé, la réduction des ruisques et le rpincuipe de santé communautaire. Le développement de l'étude constitue le corps pédagogique préconisé par l'auteur, en intervention auprès d'adolescents sur le thème de la prévention de l'alcoolisme.
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