Résumé :
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Au cours de la période qui suivit l'ouragan Floyd en 1999, un comité consultatif a demandé l'assistance de ses partenaires universitaires (Université de Caroline du Nord) pour gérer le stress et le risque élevé de violence conjugale. Provenant de 12 sites d'études, la base de données en ligne montre que les niveaux de violence conjugale étaient plus élevés parmis les femmes ouvrières en Caroline du Nord que ce que les niveaux basés sur la population d'un pays laissaient entendre. Les victimes de la violence conjugale ont montré des taux de stress plus élevés, des détresses psychologiques, des problèmes somatiques et des symptômes d'états de stress post-traumatique (ESPT), problèmes que n'ont pas expérimenté leurs collègues non persécutés. En ce qui concerne la relation entre l'inondation et la violence conjugale, cette dernière n'a pas connu d'augmentation importante après l'inondation. Cependant, sans tenir compte des expériences de l'inondation, les victimes de la violence conjugale ont toujours présenté une forte dose de stress, les symptômes de ESPT ainsi que des problèmes somatiques et psychologiques. De plus, les victimes présentent plus de risques aux maladies chroniques liées au stress et aux comportements opérants négatifs. Cette étude se base sur une relation de confiance instaurée entre les chercheurs et les membres de la communauté pour analyser les besoins de la communauté et contribuer à la formation de l'intervention.
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