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Titre :
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Recherche, analyse de conceptions chez des patients diabétiques et leurs soignants. Comparaison entre deux milieux socioculturels différents : le département du Cher et celui de l’île de La Réunion (2015)
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Auteurs :
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Danièle Authier ;
Dominique Berger ;
LABORATOIRE ACTÉ EA 4281, UNIVERSITÉ BLAISE PASCAL, CLERMONT-FERRAND, FRANCE
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Type de document :
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Article : texte imprimé
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Dans :
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Education thérapeutique du patient (Vol. 7 n° 2, Décembre 2015)
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Article en page(s) :
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pp.20105
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Langues:
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Anglais
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Catégories :
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DIABETE
MALADIE CHRONIQUE
TECHNIQUE D'AIDE
EDUCATION
OUTIL
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Mots-clés:
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DIABETE
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MALADIE CHRONIQUE
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TECHNIQUE D'AIDE
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EDUCATION
;
OUTIL
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Résumé :
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Introduction : Le traitement des maladies chroniques comprend une partie technique et une partie éducative. Cette dernière, bien instituée par les autorités scientifiques et politiques, demande aux soignants la mise en place d’outils didactiques comme le relevé de conceptions. Objectifs : Mieux connaître ces conceptions pour mieux les prendre en compte est un facteur capable d’aider les soignants dans leurs pratiques éducatives. Nous avons questionné ces conceptions chez des patients diabétiques de type 1 et 2 mais également chez les soignants qui les prennent en charge en service de diabétologie ou dans des réseaux ville/hôpital. Méthode : Nous avons également comparé ces conceptions dans deux milieux socio-culturels différents : le département du Cher et le département de l’île de La Réunion. Ce sont ainsi 26 patients et 29 soignants de ces deux milieux qui ont été interrogés lors d’entretiens selon une méthode qualitative. Résultats : Les résultats démontrent qu’il n’existe pas de différence majeure entre le département métropolitain où la prévalence standardisée du diabète est identique à la prévalence nationale et le département d’outre mer où la prévalence est deux fois plus élevée. Les différences relevées ont été identifiées entre les soignants et les patients et concernent la perception affective des traitements de la pathologie. Conclusion : Il ressort que les conceptions des patients dépendent beaucoup plus de leur microenvironnement familier que du microenvironnement départemental.
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Note de contenu :
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SCIENTIFIQUE
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