Résumé :
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L’aménagement du territoire a longtemps été une question laissée aux mains de l’édile des lieux, appuyé par des promoteurs immobiliers, puis conseillé par des professionnels techniques. Les temps ont changé. La démocratie représentative perd des plumes à chaque scrutin, la transparence et la participation sont ardemment demandées par les citoyens. La planification du territoire bruxellois fait également l’objet de désir d’appropriation par ses habitants. Il existe déjà certains outils législatifs pour favoriser l’implication citoyenne : les enquêtes publiques et les Contrats de Quartiers, par exemple. Sont-ils suffisants ou ne s’agit-il que d’apparats pour préserver la distribution du pouvoir décisionnel en l’état ?
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