Résumé :
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En 2001, la revue ADSP consacrait un dossier à la médecine prédictive et aux espoirs ou craintes qu’elle suscitait, sans toutefois surestimer l’impact potentiel en santé publique des nouvelles connaissances issues du génome. Pourtant la tendance était la surévaluation de la valeur prédictive des tests ; à la croyance dans la contribution majeure du patrimoine génétique à la survenue des maladies. Aujourd’hui la science a progressé, on parle moins de médecine prédictive et plus de médecine de précision ; de médecine personnalisée.
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