Résumé :
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Les adolescents reçus en hôpital de jour sont souvent contraints, du fait de l’exclusion des autres lieux sociaux, de venir à nous. Ils développent un mécanisme de défense prévalent qu’est le clivage. La ligne de clivage la plus utilisée est celle se trouvant entre le transfert institutionnel et le transfert singulier, se développant en psychothérapie et/ou en psychodrame psychanalytique individuel. Par le travail institutionnel, les mécanismes de clivage peuvent être réduits et grâce au psychodrame psychanalytique individuel et à la psychothérapie, les parties clivées peuvent être représentées. Les parties clivées, s’ignorant les unes les autres, permettent que se côtoient purs idéaux et destructivité. L’articulation du travail institutionnel, grâce à la circulation de la parole, permet une élaboration dans l’après-coup des parties clivées.
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