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Résumé :
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Dans le cadre de la prise en charge de jeunes autistes sont inclus, depuis plusieurs années, deux dispositifs, l’un mixte, l’autre non, ayant pour but de fournir un lieu d’élaboration pour les questions tournant autour de la sexualité. L’article témoigne de cette expérience et des réflexions formulées à son propos. Il ne s’agit pas de groupe de parole mais de communication sur le thème de la sexualité, de la différence garçon-fille avec l’objectif de ne pas laisser ces questions être traitées uniquement dans le cadre familial. On peut noter l’utilisation de poupées sexuées, de représentations par le théâtre. Mais force est de constater avec les auteurs « que ce soit au nom d’une vie psychique qui serait restée bloquée dans la période infantile, ou au nom d’un âge mental prétendument trop bas pour accéder à une vie affective et sexuelle, que le débat est souvent maintenu dans une forme de puritanisme qui participe du cloisonnement des savoirs et d’un avancement à tout petits pas ».
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