Résumé :
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Reprenant de la vigueur au milieu des années 1990, le principe de mixité sociale s'est cristallisé au tournant des années 2000 dans une démarche politique de «renforcement de la cohésion sociale». Depuis lors, il est devenu un mot d'ordre de l'action urbaine à Bruxelles comme ailleurs en Europe. Présenté dans le discours politique comme l'un des principes centraux d'un projet de ville plus égalitaire, il apparaît, à l'analyse, qu'il sert plutôt de langage pour aborder des enjeux urbains sensibles.
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