Résumé :
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Psychiatrie «sociale» à la française, psychiatrie «démocratique» à l'italienne... Les débats ont été forts, les principes restent revendiqués par des équipes. Mais peut-on aussi parler d'une psychiatrie anglo-saxonne, d'une germanique, d'une d'Europe centrale ? Comment se jouent aujourd'hui les effets conjugués des positions comportementalistes nord-américaines, des positions sociales, psychanalytiques ? Où en est le désaliénisme à l'époque internationale du sécuritaire et d'une résurgence des usages totalitaires de la psychiatrie où prendre en main supplante activement prendre soin ?
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