Résumé :
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Si le prénom est aujourd’hui la face publique de l’identité personnelle, l’article explore deux formes plus invisibles. Les seconds prénoms tout d’abord, qui ont été, historiquement, les intermédiaires par lesquels le «stock» de prénoms s’est renouvelé et étendu, et qui sont aujourd’hui des conservateurs des prénoms du passé. Les prénoms d’usage ensuite, quand ils diffèrent avec ceux de l’état civil (qui deviennent ainsi prénoms «de papier», rarement mobilisés dans les relations quotidiennes).
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