Résumé :
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Cette réflexion vise à mieux déterminer ce qu’il en est du libre choix dans le choix conjugal. Le couple n’est couple que dans son inscription dans un groupe social, dans une histoire sociale prenant en compte l’histoire préalable des conjoints. Les appartenances, le besoin d’appartenance, l’économique, la crainte révérencielle envers un ascendant, le consentement et la maturité affective sont autant de facteurs abordés ici par l’auteur. Dans les crises, ce qui est le plus souvent reproché au conjoint est ce pour quoi il a été choisi. Aussi, ne serait-ce pas ce « consentement » à soi-même qui serait le plus difficile dans notre société ? Le refus de ce consentement menant à la séparation du couple...
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