![La fonction de la violence dans un cas de psychose](./getimage.php?url_image=http%3A%2F%2Fimages-eu.amazon.com%2Fimages%2FP%2F%21%21isbn%21%21.08.MZZZZZZZ.jpg¬icecode=&entity_id=871653&vigurl=https%3A%2F%2Fwww.cairn.info%2Fstatic%2Fincludes%2Fvign_rev%2FCPC%2FCPC_039_L61.jpg)
Titre : | La fonction de la violence dans un cas de psychose : trouble ou béquille? (2012) |
Auteurs : | LIPPI S. |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Cahiers de psychologie clinique (n° 39, Août 2012) |
Article en page(s) : | pp. pp. 45-61 |
Note générale : | biblio. |
Langues: | Français |
Catégories : | |
Mots-clés: | PROTECTION INFANTILE ; AIDE SOCIALE A L'ENFANCE ; ACCUEIL DE L'ENFANT ; PARENT ; TROUBLE MENTAL ; ENFANT EN DIFFICULTE ; SOUFFRANCE ; INFORMATION DE L'ENFANT ; PLACEMENT FAMILIAL ; ANALYSE DE CAS ; FONCTION POSITIVE ; AFFECT ; IMAGINAIRE |
Résumé : | Nous avons tenté de montrer à travers l’analyse d’un cas de cure analytique, que les comportements violents de certains psychotiques ne sont pas seulement la conséquence d’une relation agressive et ravageante avec l’autre spéculaire (soi-même ou le prochain), antichambre d’un rapport de persécution avec le monde extérieur, mais une défense. Celle-ci n’a pas la solidité d’une suppléance symbolique, mais elle peut maintenir le sujet, pour un certain temps, dans une « hésitation structurelle », autrement dit, sur le seuil d’une structure clinique avérée, la paranoïa. La violence peut devenir une forme de « traitement » pour le psychotique, lorsque celui-ci arrive à la transformer, à en faire une béquille pour son existence. |
Note de contenu : | SCIENTIFIQUE |
Exemplaires (1)
Cote | Code-barres | Support | Localisation | Disponibilité |
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REV CAH PSY CLINIQUE | P000929 | Bulletin | NADJA | Consultation sur place Disponible |