| Titre : | D'un silence partagé à un récit mis en commun : de la nécessité de bien pouvoir se raconter (2010) |
| Auteurs : | MUGNIER J.P. |
| Type de document : | Article : texte imprimé |
| Dans : | CAHIERS CRITIQUES DE THERAPIE FAMILIALE ET DE PRATIQUES DE RESEAUX (n° 44) |
| Article en page(s) : | pp. 79-91 |
| Note générale : | biblio. |
| Langues: | Français |
| Catégories : | |
| Mots-clés: | VIOLENCE CONJUGALE ; VICTIME ; ENFANT ; FEMME EN DIFFICULTE ; HOMME ; FRANCE ; STATISTIQUE ; PRESSE ; MEDIA ; PSYCHANALYSE ; DEFINITION ; CONCEPT ; RESILIENCE ; THERAPIE COGNITIVO-COMPORTEMENTALE ; PSYCHOLOGIE SOCIALE ; PRISE EN CHARGE ; VIOLENCE FAMILIALE ; EVALUATION ; THERAPEUTIQUE ; GROUPE DE PAROLE ; THERAPIE DE GROUPE ; SOUTIEN ; SEXISME ; SUIVI DU PATIENT ; EFFET ; ENFANT EN DIFFICULTE ; ADOLESCENT EN DIFFICULTE ; IMPACT ; IMPACT FAMILIAL ; IMPACT PSYCHOLOGIQUE ; PARENTALITE ; VIOLENCE SEXUELLE ; PREVENTION ; FORMATION DU PERSONNEL ; FORMATION PROFESSIONNELLE ; JUSTICE ; LEGISLATION ; SECRET ; ALLEGATION |
| Résumé : | La violence, a fortiori d’ordre sexuelle, même lorsqu’elle cesse, emprisonne ceux qui en ont été victimes. Tout à coup, l’espace des possibles semble se réduire pour celles-ci au point d’avoir le sentiment de perdre le contrôle de leur destin. Un tel processus s’installe de façon encore plus prégnante si la fragilité des liens familiaux les condamne à garder durablement le silence.|Face à ces situations, un objectif des intervenants sera de permettre à ces patients de se réapproprier leur destin sans pour autant minimiser leur souffrance et ainsi redevenir les acteurs de leurs choix. Une possibilité, pour atteindre ce but, réside dans notre capacité à penser leur histoire afin de leur permettre de bien pouvoir se raconter. |
| Note de contenu : | INTERVENANT, SCIENTIFIQUE |
Exemplaires (1)
| Cote | Code-barres | Support | Localisation | Disponibilité |
|---|---|---|---|---|
| REV CAH CRI THER FAM R10072 | CE996820 | Bulletin | NADJA | Disponible |
