|
Titre :
|
Entre «faute de mieux» et «malgré tout» : travailler «sous» et «avec» des normes (2011)
|
|
Auteurs :
|
PÉTRY P.
|
|
Type de document :
|
Article : texte imprimé
|
|
Dans :
|
LA LETTRE DE L'ENFANCE ET DE L'ADOLESCENCE - REVUE DU GRAPE (n° 85-86, septembre)
|
|
Article en page(s) :
|
pp. 35-46
|
|
Note générale :
|
biblio., ann.
|
|
Langues:
|
Français
|
|
Catégories :
|
PROTECTION INFANTILE
ENFANT MALTRAITE
ENFANT EN DIFFICULTE
EDUCATION
COMPORTEMENT A RISQUE
IMPACT
POLITIQUE SOCIALE
NORME SOCIALE
PREVENTION
RISQUE
ASSURANCE DE QUALITE
DROITS DU PATIENT
TRAVAIL EN EQUIPE
VIOLENCE INSTITUTIONNELLE
|
|
Mots-clés:
|
BELGIQUE
;
SANTE PUBLIQUE
;
POLITIQUE DE SANTE
;
ENFANCE
;
FORMATION
;
PAUVRETE
;
ECOLE
;
ENSEIGNEMENT
;
LUTTE CONTRE LES INEGALITES
;
LUTTE CONTRE LA PAUVRETE
;
ACCES A L'EDUCATION
;
MESURE DE LA SANTE
;
PROJET
;
SANTE
|
|
Résumé :
|
Les recommandations de «bonnes pratiques» modifient la culture des professionnels de la protection de l’enfance. Elles sont le produit d’une tendance sociale historique prégnante dans notre société : la prévention des risques, la logique de l’assurance-qualité et la promotion du droit des usagers. Quelle emprise ont ces normes sur les pratiques éducatives en situation ? Les notions de risques et de normes sont équivoques : elles ont des usages très différents dans le monde des politiques publiques et dans le monde éducatif qui est directement aux prises avec les conduites à risques adolescentes. Faire face constitue une épreuve de professionnalité et exige un travail des équipes sur leur propre normativité. Les recommandations de bonnes pratiques ne prescrivent pas les réponses, mais encouragent et permettent cette élaboration collective de la normativité.
|
|
Note de contenu :
|
SCIENTIFIQUE, INTERVENANT
|
