Résumé :
|
Depuis quatre ans nous animons des groupes de parole pour les auteurs de violences conjugales, dans trois contextes différents : un groupe ouvert, un deuxième groupe inclus dans un protocole pour des personnes faisant l’objet d’un dépôt de plainte et mis en cause par le Procureur avant jugement, enfin un groupe pour personnes condamnées pour violences conjugales et incarcérées. Nous pensons que ces contextes différents entraînent des modifications dans nos représentations, notre façon de travailler, dans l’implication des participants. Dans chaque contexte nous observons les représentations que ces personnes se construisent de leur couple et de leur famille. Nous proposons une étude comparative des dispositifs et des résultats observables.
|