Résumé :
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Les transports en commun urbains ne répondent pas aux craintes et aux attentes des personnes âgées. S'il est souhaitable que les personnes du grand âge continuent à investir l'espace public, malgré leurs diffultés ou leur sentiment d'y être moins tolérées, les opérateurs de transports, et bien d'autres acteurs de la ville, doivent penser le veillissement en d'autres termes que le handicap physique. Sur l'aire toulousaine, les divers modes de transport proposés visent pour le moment davantage à répondre aux besoins des personnes souffrant de divers handicaps, ou à une meilleure qualité du service pour tout le monde, qu'à une population qui a simplement vieilli.
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