Résumé :
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Deux paradoxes sont ici évoqués, illustrant la complexité pour les adminstrations de la lutte contre l'exclusions : l'un relève d'un traitement de masse visant néanmoins à personnaliser au maximum les mesures d'aide , l'autre est relatif à la prolifération et à la relative paralysie des instances de concertation ( exemples des Commissions sociales d'urgence ( CASU ) et des Conseils départementaux de coordination des politiques de prévention et de lutte contre les exclusions ( COCODIL ). Dans le cadre de la loi de finances, le Document de politique transversale ( DPT ) devrait, dès 2006, permettre aux ministères de s'engager sur des objectifs.
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