Résumé :
|
"Pour être heureux, il faut avoir un travail, mais le travail ne rend pas forcément heureux. Ceux dont l'emploi est le plus menacé font du travail une condition du bonheur, mais y trouvent rarement une occasion d'épanouissement. Mieux assurés de leur position, les membres des catégories supérieures recherchent dans le travail une composante d'un bonheur aux multiples facettes , ils se plaignent souvent d'un travail intéressant mais pression croissante ( "" flexibilité "", individualisation et responsabilisation forcées, intensification du travail ), source de risques pour le bien-être et pour l'emploi."
|