Résumé :
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Quelle que soit la définition retenue, les troubles du langage constituent pour le psychiatre - et les chiffres de prévalence le montrent bien - un public tout à fait important. C'est pourquoi, dans le champ des troubles du langage, la place du psychiatre restre cruciale au plan du diagnostic, mais également au plan de la prise en charge puisque les problématiques associées sont rès fréquentes et relèvent de sa pratique. Néanmoins, il se doit d'intégrer les apports de la psychologie cognitive et de la linguistique dans se clinique vu les avancées considérables réalisées ces trentes années dans ces disciplines. Nous illustrerons l'intérêt d'un abord multidimensionnel du sujet à partir de situations cliniques pragmatiques.
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