Résumé :
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"On ne peut concevoir une théorie de la perception visuelle sans faire intervenir une théorie de l'hallucinatoire. Tout être humain possède un "" potentiel hallucinatoire "" qui s'actualise dans son activité figurative perceptive ou "" endoperceptive "" et qui s'organise sur le modèle de "" l'enveloppe visuelle du moi "" généralisé : retournement pulsionnel réflexif, "" fonction-écran "" hallucinatoire et négative, réduction de l'hallucinatoire à un "" quantum "", relation "" contenant-contenu "" entre l'hallucinatoire négatif et positif.|De nombreux exemples cliniques montrent que toute rencontre thérapeutique "" ajustée "" au patient mobilise un "" continuum hallucinatoire "" perceptif entre les deux partenaires. Le potentiel hallucinatoire du patient, fourvoyé dans diverses symptomatologies, est toujours remobilisable et réorganisable dans "" l'hallicinatoire de transfert "". Ainsi s'ouvre un champ de recherche thérapeutique nouveau et passionant."
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