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Résumé :
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L'homme violent dissimule, derrière ses passages à l'acte graves, une fragilité psychique et un mal à vivre importants. Si un homme agit sa violence, c'est qu'il ne peut verbaliser les causes de son malaise, d'autant plus que l'éducation dévalorise l'expression de la vie émotionnelle et affective de tout être masculin. A cela s'ajoute une dimension sociale encore machiste où règne le culte de la performance, de la force dite virile, de la compétition exacerbée. Reconstruire des relations humaines qui assument les défis de l'intimité et de la rencontre de l'altérité relève de l'action psychothérapeutique.
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