Résumé :
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La région frontalière tournaisienne compte de nombreuses structures socio-éducatives destinées aux personnes handicapées ou aux jeunes en difficulté. Ce phénomène est né de la séparation de l'État et de la religion en France qui poussa de nombreux homes et orphelinats religieux à se réfugier en Belgique, à la frontière franco-belge. Aujourd'hui, le succès de ces institutions fait que beaucoup de résidents belges n'y trouve plus de place et de prise en charge en Belgique, mais surtout en France, sont multiples. Côté belge, on pense à ouvrir les structures, à varier les offres d'accompagnement. En France, on tente de combler le déficit, mais l'effet de retard persiste et les priorités politiques posent questions.
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