Résumé :
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Le Conseil fédéral entend réinsérer 16.000 rentier-ère-s AI sur le marché du travail au cours des prochaines années. Mais nul ne sait où se trouvent les emplois nécessaires à ces personnes. La pression est donc forte sur l'AI et sur les personnes handicapées chez qui on présume un potentiel inexploité.Que faire? L'économie privée n'a aucune obligation en matière d'intégration. Les espoirs se tournent par conséquent vers des modèles de travail 'alternatifs'. L'un d'entre eux se nomme 'entreprise sociale'. Les entreprises sociales, comme on les définit, travaillent selon des critères économiques et agissent dans un esprit social au sens où elles engagent également, de façon volontaire, des personnes marginalisées: chômeur-se-s en fin de droits, requérant-e-s d'asile, bénéficiaires de l'aide sociale et rentier-ère-s AI dont l'incapacité de travail est partielle (surtout avec des problèmes psychiques). Les entreprises sociales en Suisse romande - Ateliers protégés ou innovation pour l'intégration et l'insertion? 6Par Christophe Dunand Les entreprises sociales: un chemin vers la participation? Regard sur la Suisse alémanique 9Par Bernadette Wüthrich'Je suis un autre homme: je travaille' 12Par Mélanie SauvainL'intégration au menu de la crêperie sucrésalé 13Par Mélanie Sauvain'Nous aimerions agir au plus près du marché du travail primaire' 14Par Eva Aeschimann ''Blindekuh', c'est mon jackpot!' 15Par Eva AeschimannL'entreprise sociale - vraie solution ou cul-de-sac? 1Par Catherine Corbaz
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