![Interventions sur le logement et impacts sanitaires](./getimage.php?url_image=http%3A%2F%2Fimages-eu.amazon.com%2Fimages%2FP%2F%21%21isbn%21%21.08.MZZZZZZZ.jpg¬icecode=&entity_id=485263&vigurl=http%3A%2F%2Fwww.ors-idf.org%2Fimages%2Fcouvertures%2F2017%2Fcouvpagerapport.png)
Titre : | Interventions sur le logement et impacts sanitaires |
Auteurs : | Sabine Host, Auteur ; Dorothée Grange, Auteur |
Type de document : | document électronique |
Editeur : | Observatoire régional de santé (ORS) Île de France, 2017 |
Langues: | Français |
Catégories : | |
Résumé : |
Contexte et objectifs
L’habitat dégradé constitue en Île-de-France l’un des déterminants environnementaux et sociaux de santé les plus importants. La politique en faveur de l’amélioration des logements est ainsi une priorité régionale en matière de santé publique. Cette politique s’articule autour de nombreux modes d’intervention émanant de différents prescripteurs, à différentes échelles et avec des approches ciblées sur un ou plusieurs déterminants. L’amélioration des conditions de logement vise à améliorer les conditions de vie des individus et in fine leur santé. Alors que les impacts de la qualité des logements sur la santé sont aujourd’hui bien établis, l’impact des politiques d’amélioration de l’habitat est peu documenté. C’est pourquoi, il apparait nécessaire de développer des travaux approfondis permettant d’évaluer les résultats des interventions sur le logement afin de les rendre visibles et opérationnels pour guider les politiques. Ce travail explicite les méthodes à mettre en oeuvre et indicateurs à recueillir pour évaluer les interventions sur le logement ainsi que leurs éventuelles limites. Méthodes Principalement basé sur une revue de la littérature internationale, il fournit par ailleurs, un éclairage sur les enseignements des études épidémiologiques en matière de bénéfices sanitaires des interventions sur le logement, qu’il s’agisse d’actions d’amélioration du logement (réhabilitation, travaux d’isolation, amélioration du chauffage, de la ventilation…) ou bien d’actions d’« éducation » visant une modification des comportements. Résultats Il n’est pas toujours possible de tirer des conclusions générales, d’autant plus que le nombre d’études de qualité satisfaite reste faible. Les interventions sur le logement montrent la plupart du temps des effets bénéfiques pour la santé, avec une certitude et une amplitude variable selon les facteurs de risque ciblés par l’action et ses modalités. Certains modes d’intervention, tels que les rénovations à l’échelle de quartier, apparaissent particulièrement complexes à évaluer car ils impliquent de s’intéresser à une palette de déterminants bien plus large que les seuls déterminants environnementaux liés à la qualité du logement. Ces aspects n’ont pas été traités dans le cadre de ce rapport. Aucun travail français n’a été publié dans la littérature. Les interventions recensées dans ce rapport ont été menées dans des contextes et avec des modalités spécifiques. Ainsi,les résultats des études ne sont pas toujours extrapolables au contexte français. De tels travaux d’évaluation menés en France permettraient de rendre l’action publique plus explicite. Ils sont donc à encourager tout en sachant qu’ils exigent de la rigueur et peuvent prendre ainsi une ampleur importante et nécessiter un regard sur une longue durée. Afin de fournir des éléments de réponse plus immédiats, la réflexion a été élargie à la définition d’indicateurs susceptibles d’alimenter un système d’observation, conçu afin de disposer d’un « baromètre » de la situation. Un tel système permettrait d’appréhender l’impact d’opérations d’amélioration des logements menées à l’échelle d’ensembles immobiliers sur certains territoires de l’Île-de-France. |
Catalogueur : | RESOdoc |
Exemplaires
Cote | Code-barres | Support | Localisation | Disponibilité |
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aucun exemplaire |
Documents numériques (1)
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