Titre : | Quand les Belges étaient de pauvres réfugiés |
Auteurs : | MORELLI A. |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | IMAG (anciennement Agenda Interculturel) (n° 269/270) |
Article en page(s) : | pp. 50-54 |
Langues: | Français |
Catégories : | |
Mots-clés: | BELGIQUE ; SOCIOLOGIE ; ASPECT HISTORIQUE ; ENSEIGNEMENT ; VALEUR SOCIALE ; IMMIGRATION ; EMIGRATION ; REFUGIE ; FRANCE ; PAYS-BAS ; GRANDE-BRETAGNE ; REPRESENTATION SOCIALE ; DIALOGUE ; POLITIQUE SOCIALE ; STEREOTYPE ; VIOLENCE ; INTEGRATION ; ETUDE ; INTERCULTURALITE |
Résumé : | L’enseignement de l’histoire peut servir de nombreuses causes contradictoires. Il peut vouloir démontrer la supériorité d’une culture sur une autre, étayer des revendications territoriales, appuyer le nationalisme, exalter l’unité d’une « race », mettre au ban un régime politique, dénoncer une nation adverse comme sanguinaire. C’est – malheureusement – ce genre de rôle qui lui est le plus souvent assigné |
Note de contenu : | INTERVENANT|SCIENTIFIQUE |
Exemplaires (1)
Cote | Code-barres | Support | Localisation | Disponibilité |
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C&S AGI.01 | CS00270 | Bulletin | Cultures&Santé | Consultation sur place Disponible |