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Titre :
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Les limites du concept de dangerosité (1995)
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Auteurs :
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DE CLERCQ M. ;
ECTOR F. ;
TROCH S. ;
HERBAUX S. ;
HOYOIS P.
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Type de document :
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Article : texte imprimé
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Dans :
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Cahiers de psychologie clinique (n° 5)
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Article en page(s) :
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pp. 251-276
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Note générale :
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biblio.
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Langues:
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Français
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Catégories :
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PSYCHOLOGIE CLINIQUE
LEGISLATION
PSYCHIATRIE
HISTOIRE
INSTITUTION PSYCHIATRIQUE
DROITS DU PATIENT
PROTECTION
CONCEPT
RISQUE
ETHIQUE MEDICALE
ANALYSE COMPARATIVE
URGENCE
CENTRE DE CRISE
DANGEROSITE
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Mots-clés:
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PSYCHOLOGIE CLINIQUE
;
LEGISLATION
;
PSYCHIATRIE
;
HISTOIRE
;
INSTITUTION PSYCHIATRIQUE
;
MALADIE MENTALE
;
DROITS DU PATIENT
;
PROTECTION
;
CONCEPT
;
RISQUE
;
ETHIQUE MEDICALE
;
ANALYSE COMPARATIVE
;
URGENCE
;
CENTRE DE CRISE
;
DANGEROSITE
;
COLLOCATION
;
ALIENATION
;
export 2016
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Résumé :
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La nouvelle loi de protection de la personne du malade mental du 26 juin 1990 a mis en avant l'importance de la dangerosité du patient dans la décision d'internement non volontaire. On assiste, dans l'application actuelle de cette loi, à une grave dérive qui transforme, dans de nombreux cas, la notion de protection de la personne du malade mental en notion de protection de la société face au malade mental par l'utilisation du concept de dangerosité considéré comme critère en soi et motif suffisant pour justifier l'internement non volontaire. Ce concept de dangerosité apparaît cependant comme non scientifique dans sa définition et éminemment lié à la subjectivité de celui qui le pose, voire même de l'expert interpellé. De nombreux travaux ont également mis en doute la validité des prédictions de la dangerosité.
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Note de contenu :
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INTERVENANT, SCIENTIFIQUE
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