Résumé :
|
Il ne nous est plus possible de ne pas participer aux réseaux qui nous enserrent, tant ils sont devenus constitutifs de notre pensée et de nos pratiques sociales. Le parcours professionnel de Christine Vander Borght l'a conduite à s'intéresser aux systèmes plus larges que la famille. En effet, si la famille est une matrice fondatrice, d'autres appartenances sociales influent sur nos manières de vivre, d'être en relation, de sentir et de penser. Dans un milieu marqué par la précarité, l'utilisation de la «carte de réseau» a rendu des personnes conscientes de l'étendue et de la diversité de leur réseau social, de telle sorte qu'elles puissent elles-mêmes l'utiliser d'une façon constructive. Cette méthodologie prend appui sur le modèle théorique d'écologie sociale de Bronfenbrenner. Les réseaux d'échanges de savoirs forment une autre expérience novatrice éclairante pour le travail social.
|