Résumé :
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"Qu'attendent du soin en toxicomanies les structures de droit commun ( CHRS, hôpitaux, services tant médicaux que sociaux)? Comment mieux définir pour le droit commun la spécificité en termes notamment d'espace clinique et d'articulation? Le soin peut-il ""garantir"" l'accessibilité au droit commun? Par ailleurs, les droits des usagers à la santé, au social, au médico-social s'étendent. Des moyens existent pour l'expression de ces droits ( droit au logement, au médiateur social, etc.). Le soin est lui organisé par des contrats de soin. Peut-il y avoir antinomie entre les droits et les contrats (de soin)? Quelles cohérences sont à trouver entre les deux? Entre médicalisation (substitution) et socialisation (hébergement), le droit commun peut-il répondre à toutes les problématiques? Entre le temps de soin et le temps du social, quel ""en-jeux"" pour le sujet?"
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