Titre :
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The psychosocial impact of presenting adolescent transplant recipients with the possibility of a simplified regimen : implications for patient education during transition to self-managed care (2013)
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Titre original:
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Le point de vue des adolescents et jeunes adultes greffés hépatiques sur les avantages et inconvénients d’une simplification de leur traitement médicamenteux : implications pour la pratique de l’éducation thérapeutique des adolescents greffés hépatiques en période de transition
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Auteurs :
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Isabelle Aujoulat ;
JANSSEN M.
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Type de document :
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Article : texte imprimé
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Dans :
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Education thérapeutique du patient (Vol. 5 n° 1, Juin 2013)
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Article en page(s) :
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pp.107–112
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Note générale :
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biblio.
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Langues:
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Anglais
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Catégories :
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ADOLESCENT
EDUCATION DU PATIENT
THERAPEUTIQUE
FOIE
TRANSPLANTATION D'ORGANE
DON D'ORGANE
AUTONOMIE
VIE QUOTIDIENNE
OBSERVANCE THERAPEUTIQUE
PSYCHOLOGIE SOCIALE
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Mots-clés:
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ADOLESCENT
;
EDUCATION DU PATIENT
;
THERAPEUTIQUE
;
FOIE
;
TRANSPLANTATION D'ORGANE
;
DON D'ORGANE
;
MALADIE CHRONIQUE
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AUTONOMIE
;
VIE QUOTIDIENNE
;
OBSERVANCE THERAPEUTIQUE
;
PSYCHOLOGIE SOCIALE
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Résumé :
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Introduction : Au cours du processus d’apprentissage d’une gestion autonome de leur santé, les adolescents vivant avec une maladie chronique font face à de nombreux défis. Un de ces défis consiste à trouver leurs propres routines de soins et à les intégrer à leurs activités quotidiennes. La complexité et la fréquence des traitements est un facteur bien établi de non adhésion thérapeutique. Nous faisons l’hypothèse que chez les adolescents transplantés, qui sont contraints à prendre quotidiennement et à vie un traitement immunosuppresseur pour la prévention du rejet de l’organe greffé, la simplification du traitement par la substitution d’une formule contenant du tacrolimus à libération immédiate (Prograf®) à une formule à libération prolongée (Advagraf®), administrée une fois par jour au lieu de deux, peut contribuer à diminuer les épisodes de non-adhésion involontaire. Méthodes : Après s’être assurés de l’efficacité médicale sur un échantillon de 32 patients, nous avons souhaité évaluer l’adhésion au traitement et l’impact psychosocial de ce changement. L’impact psychosocial a été évalué sur un sous-échantillon de 11 patients, rencontrés 8 semaines après le changement du traitement. Résultats : Nos résultats suggèrent que la participation à la décision de changement de traitement augmenterait le sentiment d’auto-efficacité et d’autodétermination chez les patients concernés. Conclusions : La proposition de modifier le traitement (à condition que ce changement ne présente pas de risques médicaux) peut donc être envisagée comme une stratégie intéressante pour soutenir l’autonomisation à l’égard du traitement dans la phase de transition entre les services de pédiatrie et les soins pour adultes.
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Note de contenu :
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SCIENTIFIQUE
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